Mathieu Siraga et son équipe accompagnent les fondateurs du Groupe EIF

Mathieu Siraga et son équipe (Séverine KOULMANN et Anne DECHAMPS) accompagne les fondateurs du Groupe EIF dans le cadre du LMBO (*) voyant l’entrée au capital du fonds d’investissement FPCI PMC II de Paluel-Marmont Capital et des principaux managers.

Le groupe EIF, spécialisé dans le conseil en optimisation de coûts pour les entreprises, notamment sur les taxes locales et le financement de l’innovation, se restructure par un LMBO (Leverage Manager Buy-Out) en faisant entrer au capital le fonds d’investissement PMC et trois managers-clés.

Onze ans après sa reprise par Sandrine Julien et Aymeric Poujol, ses deux co-dirigeants actuels, EIF s’est fortement développé, en devenant leader en France sur le marché de la réduction des taxes locales, et vise cette année un chiffre d’affaires de 8 millions d’euros.

Cette opération a pour but de poursuivre le déploiement d’EIF dans de nouveaux secteurs tels que l’optimisation du financement de l’innovation, comme l’atteste la création d’EIF Innovation il y a quelques années. Elle permet également d’envisager un déploiement à l’international en commençant par l’Europe.

Le financement de cette opération a été réalisé grâce à l’entrée au capital du fonds d’investissement FPCI PMC II et des trois managers-clés, que sont Christophe Thévenot, Sébastien Pichon et Benjamin Rachet, et par une dette senior levée auprès de la Caisse d’Epargne, du Crédit Agricole et de la Société Générale.

Communiqués en ligne :

CF News : “EIF optimise son actionnariat”
Linkedin Mathieu Lemesle : Financière Monceau organise la recomposition de l’actionnariat du groupe EIF


Mathieu SIRAGA, avocat associé
Séverine KOULMANN, avocate associée
et Anne DECHAMPS, avocat collaborateur


* Le LMBO (Leveraged Management Buy-Out) est une forme de rachat d’entreprise par des investisseurs, par ses cadres dirigeants et le cas échéant par ses salariés. Le LMBO permet de prendre le contrôle d’une société avec un apport personnel minimum car l’acquisition est largement financée par un emprunt bancaire dont le coût doit être inférieur au taux de rentabilité attendu de la société cible.